Je m'appelle Laura, j’ai 33 ans blonds, coupée au carré mince et un peu bourgeoise dans le style...
Mon histoire remonte à 2 ans, a cette époque je vivais avec mon mari, je suis désormais divorcée et célibataire.
Comme souvent le matin après le départ mon mari je m’attaque au ménage souvent vêtue d'une nuisette, celle que je porte pour dormir, je commence à peine mon ménage que la sonnerie me fait sursauter, ça doit être mon mari qui a oublié quelque chose.
J'ouvre donc la porte de l'appartement sans me méfier et je me retrouve nez à nez avec Quentin mon Concierge, son logement est juste en dessous du mien, il est célibataire 35 ans environ, assez for physiquement, très rustre et pas très beau ...
Je me sens gênée et j’essaye de ma cacher derrière la porte car ma nuisette est courte et totalement transparente, pas de culotte pas de soutif vous imaginez, je le connais à peine je le croise de temps en temps je sais juste qu'il s’appelle Quentin c’est tout.
J’engage la conversation agacée et gênée:
-Oui, bonjour Quentin, que voulez-vous ?
-Ne vous inquiétez pas Madame je suis juste passé pour ramener vôtre petite culotte et aussi une chaussette a vous qui sont a priori tombés sur ma terrasse en bas.
J’étais rouge de honte pas pour la chaussette tombée mais voir mon concierge ma culotte à la main, quelle honte.
Quentin poussa ma porte en me disant:
-Vous ne m’offrez pas le café pour me remercier?
Je n’ai pas eu me temps de lui répondre que mon concierge était entré dans mon appartement en refermant la porte derrière lui j’ai entendu qu'il donnait un tour de clés comme pour nous enfermer.
J’ai dû rêver, je me fais des films, je ne dis rien et je me dirige vers la cuisine pour lui faire son café.
Je me sens nue et pas à l’aise dans cette tenue, je lui donne son café et je lui dis que je vais passer un peignoir.
Il repose son café sur la table et il me prend fermement par la taille, je le repousse violemment, mais Quentin est plus fort que moi.
Il me plaque contre lui, se colle à moi je sens son sexe dur contre moi mais aussi sa main qui passe sous ma nuisette trop courte.
Puis il me dit à l'oreille:
- Tu m’ouvres moitié à poil et tu me laisse rentrer chez toi tu dois être une bonne salope toi? On va jouer un peu tous les deux
La peur m'empêchait de parler et même de me défendre; je tentais malgré tout de me défaire de lui mais impossible.
Il me saisit les hanches et me porte sur le plan de travail, il me caresse les seins à travers ma nuisette puis il finit par l'arracher violemment.